Hanako physiquement n’est pas une pure beauté qui attire les regards. En fait, elle se fond plutôt dans la masse. Grande et mince, trop mince, avec sa peau aussi blanche que ses poupées de porcelaine, elle fait penser à un cadavre. Peut-être reste-t-elle trop enfermée dans le petit appartement. Ses doigts sont long et ses mains recouverte de poussière blanche de porcelaine. En fait tous ses membres sont longs et maigre, un manque de nourriture et de sport peut-être. Son seul atout surement sa poitrine, parce que sinon, elle fait plutôt peur.

Son visage est féminin et pointue. On dirait qu’elle est malade, un vrai fantôme. Son nez est tout petit, comme sa bouche. Et ses lèvres son minces et muettes. Elle porte toujours son cache œil, pour ne pas déranger les autres avec ses yeux dépareillés. C’est son œil bleu turquoise et très « flash » qui est caché par son bandage. L’autre, rouge rubis comme son père, elle le montre fièrement. S’ajoute à son côté effrayant.

Plutôt légère et silencieuse, on la remarque peu lorsqu’elle passe d’un endroit à l’autre. Elle n’attire pas vraiment les regards et on n’arrive pas à dire si elle est une hybride, une originel ou une étrangère. En fait, le fait qu’elle aille été enfermer pendant une longue partie de sa vie permet peut-être un certain questionnement face à cela. Enfin, nous nous éloignons de la description.

Finissons avec son style vestimentaire, les jumelles n’ont pas d’argent et coud la plupart de leur vêtement. Comme elle ne s’habille pas pareille, chacune s’occupe de leur vêtement, même si Hanako doit souvent demande de l’aide à sa sœur et que celle-ci déplore souvent le manque de couleur dans sa garde robe. En effet, elle ne porte pratiquement que du noir, sinon un peu de blanc et du rouge. Elle aime mettre un veston, avec des jupes et des chaussettes style étudiant. Elle ne porte pas de pantalon, que des jupes, mais aime les camisoles, les chemises. Elle aime ce qui est rustique, la dentelle, les boucles, mais ça aussi c’est sa sœur qui s’en occupe.

You don’t want to be in her mind. Anyway, she really don’t want !
Hanako, elle à beau porter le nom de l’enfant de la fleur, cela ne fait pas d’elle une charmante demoiselle, colorée et toute belle que l’on a envie de cueillir, et encore moins d’offrir. Toute seule, elle est plutôt bizarre, elle chantonne et se parle. Se déplace comme si elle flottait d’un endroit à l’autre, se promène sans avoir de direction précise. Mais elle est très mystérieuse, personne ne la comprend, mais ce doit surtout être parce qu’elle parle peu.

L’on va penser qu’elle fait cela intentionnellement, qu’elle déteste les autres. Si elle est une fleur, on pourrait dire qu’elle est une rose un peu fanée, mais dont les aiguilles sont bien tranchante. En fait, elle s’est formé une grande carapace piquante autour d’elle pour n’être atteint par personne.

Ce que les autres ne savent pas, c’est qu’elle à peur d’eux. Elle a peur d’être blesser. Elle sait que les autres peuvent être horribles et méchant. De plus, comme elle a passé beaucoup de temps enfermer, elle n’a jamais appris à socialisé. Avec sa sœur, elle n’a pas toujours besoin de parler pour qu’elles se comprennent, alors ce n’est pas vraiment socialisé, et puis, ce n’est pas pareil. Elle ne s’approche de personne, sauf par obligation. C’est elle qui fait les course, mais pour cela elle n’a pas a trop communiquer.

C’est surtout pour cette raison que c’est sa sœur qui s’occupe du magasin. Elle, ne fait que passer, observer et faire bouger les peluches pour amuser les gens. Les enfants ne lui font pas peur, mais eux semble avoir peur d’elle alors elle ne prend pas la peine de s’approcher. Elle reste dans son coin, comme une ombre, se fond dans le décor. Au moins comme ça, pas de chance d’avoir à parler à qui que se soit.

Il lui arrive parfois d’être méchante, mais c’est très rare. C’est pour encore pour se protéger, pour éloigné les autres. Si quelqu’un l’intéresse, elle voudra surtout l’écouter. Peut-être l’inviter à prendre une tasse de thé avec elle et ses poupées. Jouer à la dinette, oui, c’est une activité à laquelle elle s’amuse encore. Quoi de plus chouette que d’être en compagnie d’amis qui bouge et qui ne parle pas. Bien sur, sauf si sa sœur est dans les parages.

Dans sa tête, elle est plutôt normale, mais elle ne voudrait pas qu’on le sache.
Les seules choses qu’Hanako a de précieux sont sa sœur et ses premières poupées fabriquées avec son père. Elle est d’ailleurs aussi très possessive. Elle n’aime pas qu’on touche à ses poupées favorites et encore moins à sa sœur. On peut lui parler, s’approcher, mais tant qu’on ne la touche pas, qu’on ne la blesse pas psychologiquement ou physiquement.
Son caractère est tellement compliquer que l’on pourrait passer des heures en a parler, découvrez donc le reste par vous-même.

Partie 1 : Le passage vers l’autre côté

Avant de raconter l’histoire de l’étrange personne qu’est notre chère couturière, il faut d’abord parler de sa génitrice. Sa mère était une jeune couturière qui travaillait avec des conditions horrible dans une usine de textile de Londres. Elle était venue avec sa famille à la quête d’argent, mais c’est la pauvreté qu’ils avaient trouvé. Toute sa famille avait du travailler pour vivre et cela dès un bas âge. On l’avait appelé Clover et elle était née lors d’une belle nuit de printemps. On ne peut pas dire que son prénom lui avait porté chance. À 20 ans, cela faisait déjà 10 ans qu’elle travaillait dans cet endroit sombre et humide et elle n’en pouvait plus. A chaque fois qu’elle avait voulu abandonner, ses parents l’avaient convaincu de retourner, car ils avaient besoin de cet argent. Là s’en était assez, elle leur écrivit une lettre dans laquelle elle annonça son départ et conseilla à ses frères de s’enfuir comme elle pour trouver de meilleure condition.

Son départ lui fut difficile, car elle aimait sa famille et avait peur qu’ils soient incapables de fournir sans elle. Elle se dit qu’au moins, ça ferait une bouche de moins à nourrir. Elle savait aussi que son père avait dans l’idée de la marier à un homme beaucoup plus vieux qu’elle. Il est vrai que cela faisait longtemps qu’elle était dans l’âge de se marier. Mais pour elle, le mariage obligatoire était horrible et rien ne la fâchait plus que cela. Clover avait donc une autre bonne raison de partir.

A cette époque, les femmes avait quelques droits, mais ont commençait à peine à les respecter. Pour une femme pauvre habiller de vêtement sale, c’était encore pire. C’est pourquoi, à peine sortie de son quartier d’ouvrier, elle tomba sur un groupe d’homme qui devait se diriger vers l’auberge pour se détendre un peu. Mais voilà qu’ils rencontraient une petite dame sur leur chemin, une belle aubaine pour s’amuser. Elle tenta de s’enfuir, mais ils l’attrapèrent facilement, déchirant sur leur passage le bas de sa robe. Cela les excita encore plus et ils ne se firent pas prier pour modifier un peu sa robe. En quelque seconde elle fut plus courte et plus « ouverte », un courant d’air se promena sur sa poitrine et elle frissonna. Dans sa panique et sa rage, Clover frappa de toutes ses forces l’homme qui la tenait fermement, cela le surpris et il l’a lâcha. Elle reprit sa course folle.

La jeune femme entendit alors une petite cloche teinter. Comme une mouche attirée par la lumière, elle suivit le son qui se répéta de nouveau. Elle arriva devant une ruelle qui semblait mener à un petit commerce. La lumière y semblait chaleureuse et invitante, elle poussa la porte.

Partie 2 : Une rencontre peu recommandable

La première personne que Clover rencontra dans le monde étrange de Tamashi no Higan fut un homme de grande taille à la carrure forte et carré. Il avait de grand yeux rouge rubis et des cheveux brun frisé lui chatouillait la mâchoire. Il était plutôt bel homme, bien que bizarre. Il marchait comme un félin et aimait lui tourner autour. Malgré tout, c’était aussi un charmeur et savait faire rire la jeune femme. Évidement, comme elle n’avait jamais vraiment côtoyé d’homme gentil, elle en tomba rapidement amoureuse. Il l’installa dans une boutique ou elle devint la couturière du village. Il n’y avait pas beaucoup de client, mais elle réussi à vivre de son métier. Les personnes qui l’a rencontrait lui disait souvent se méfier de l’homme qu’elle côtoyait, mais elle n’en faisait qu’a sa tête. Trop amoureuse. Il ne lui fallut pas longtemps pour découvrir son pouvoir, elle était capable de faire prendre vie des peluches qu’elle confectionnait pour les enfants du village. C’était plutôt amusant à voir.

Mais l’homme qu’elle aimait avait un énorme défaut, il était très jaloux. C’était un homme mystérieux, il ne lui avait pas dit son nom, ni son prénom, ne lui avait pas dit qu’elle métier il faisait. Ne lui avait rien dit, mais elle l’avait aimé quand même. Maintenant, voilà qu’il montrait sa jalousie. Il n’aimait pas la voir rire avec d’autre, la voir heureuse avec d’autre et il l’enferma.
Elle accepta son sors, car elle se disait que c’était parce qu’il l’aimait et cela lui faisait plaisir. Elle continua de travailler, seulement c’était lui qui rencontrait les clients. Elle avait beau créer des poupées et des animaux en peluche pour lui tenir compagnie, elle s’ennuyait et la tristesse s’empara de son cœur. Voyant cela, l’homme aux yeux rouges lui proposa de lui faire un enfant.

Partie 3 : L’arrivée d’une fleur, et pourquoi pas, d’une sœur jumelle.

La naissance de sa première fille fut une réjouissance pour cette mère triste et enfermer. Une petite fille à la peau pâle et aux cheveux foncés comme elle. Une enfant magnifique, elle l’appela Hachiko. Elle eu le même jour, une autre petite fille, identique à la première, sauf peut-être le fait qu’elle aille deux yeux de couleurs différente, un rouge et un bleu, tout aussi étrange que son père. Elle avait appris d’un étranger Japonais, qu’Hanako voulait dire enfant de la fleur, elle appela donc sa deuxième fille ainsi parce qu’elle trouvait cela joli.

La mère retrouva le sourire et s’occupa de ses filles avec les maigres moyens qu’elle possédait. Par contre, elles devaient toutes les trois resté à la maison dans les premières années. Sans vraiment faire de favoritisme, Clover passa beaucoup plus de temps avec Hachiko. Celle-ci s’intéressait beaucoup plus à la couture que sa sœur jumelle. Pour sa part, Hanako préférait bien mieux rester seule à lire des livres sur la cuisine, le dessin, la peinture et aussi la sculpture. Un jour, elle lisait justement un livre sur la sculpture quand son père s’était glissé derrière elle. Il lui avait alors dévoilé que la sculpture était un de ses passe-temps. Il lui proposa de faire un projet ensemble. Elle lui demanda de faire une poupée en porcelaine. Il la regarda fixement de ses yeux rubis et afficha un sourire carnassier. Pendant plusieurs semaines il lui fit faire et refaire plusieurs poupées pour qu’elle se pratique. Elle y prit beaucoup de plaisir et continuait de travailler même lorsqu’elle était seule.

Bien vite, elle découvrit qu’elle avait le pouvoir de faire bouger ses pantins. Elle s’en amusa beaucoup, mais n’en fit pas plus de cas. Ce monde où elle vivait était bizarre, plus rien ne la surprenait. De toute façon, ce n’était pas le genre d’Hanako de réagir émotionnellement.

Partie 4 : Une fin et un début

Hanako avait pour habitude de se lever très tôt, se faire une tranche de pain griller avec du beurre et aller regarder le soleil se lever à la lisière de la forêt. Elle n’avait pas le droit d’aller dehors alors elle passait toujours par la fenêtre. Mais cette journée là, ce fut différent. C'est sa soeur qui vint la réveiller, toute affolée. Elle ne trouvait pas nos parents dans la maison, et la porte était grande ouverte. Évidemment, sa jumelle fut plus démonstrative dans ses émotions et s’habilla en vitesse pour tenter de comprendre ce qui s’était passé. Hanako l’accompagna donc dans son enquête, mais en silence. Toute deux revinrent sans nouvelle. Leur parents s'étaient complètement volatilisé. Pour Hanako, ça ne lui semblait pas si pire que cela, elles pouvaient bien vivre d’elles-mêmes, elles avaient a ce moment là 16 ans après tout.

Hachiko attendait jour et nuit le retour de leur parent. Elle qui avait besoin de plus d’amour. Sa jumelle se sentait briser de voir sa sœur ainsi, mais ne savait pas quoi faire, pour elle se n’était pas si mal. Elle était triste quand même, mais Hanako n’était pas du genre à broyer du noir pendant des semaines, elle passait rapidement d’une chose à l’autre.

Une année est passée, les jumelles sont maintenant plus connus dans la ville, car elles ne sont plus enfermer. Elles vivent des réparations qu’elles font sur des vêtements, ainsi que sur la vente de quelque vêtement et couverture de coton, de peluche et de poupées qui bizarrement danse et parle parfois, ce qui émerveille bien les les Higanjins. Hachiko est la confectionniste en chef des robes de poupées et des peluches, c’est surtout elle qui s’occupe du côté fil et aiguille. Hanako elle s’occupe peu de la couture, mais sculpte et peint ses poupées. Elle s’occupe aussi de la cuisine, des courses, du ménage et du commerce en générale. Sa sœur est généralement trop dans sa tête pour vraiment pour travailler, mais cela ne dérange pas Hanako. Comme elles n’ont pas à payer de loyer, les jumelles vivent plutôt bien.

Mais qui sait ce qui peut leur arrivé, encore jeune, beaucoup d'évènement peuvent venir déranger leurs petites vies tranquilles.

Le pouvoir de la mère d’Hanako était de pouvoir faire vivre les peluches qu’elle fabriquait, elle pouvait les faire parler, les faire danser, les faire chanter. Elle n’avait besoin que de les toucher une fois en souhaitant les voir vivre pour que la magie s’opère. Comme elle a eu des jumelles, son pouvoir s’est glisser dans chacune d’elle, mais différemment, si Hachiko ne peut que faire parler ses créations, Hanako elle, ne peut que les faire bouger. C’est donc ensemble qu’elles mettent de la vie dans le magasin.

En tant qu’hybride, Hanako n’a pas seulement le pouvoir de sa mère, une étrangère, mais elle ressemble aussi à son père, un originel. C’est pour cela qu’elle a des yeux de différente couleur, dont un rouge et un bleu. Elle n’aime pas vraiment son œil bleu et le cache avec un bandage.

Il n’y a pas vraiment de rumeur sur les jumelles, elles sont seulement intrigantes. Après tout on ne connaissait pas leur existence avant la disparition de leur parent. Certain pense même que l’un de sœur à tuer les parents, ou peut-être même les deux sœurs ensembles.